La Tcheque dans toute sa splendeur

Cher Journal, je crois bien que si les idées preconcues sur les femmes Tcheque avaient été extraites de la bible, alors je serais aujour'hui un fervant adherent a la foi Chretienne. Tibo et Blero ont beau nous faire baver en nous montrant des videos de leurs soirées qui il faut bien le reconnaitre ont l'air particulierement exceptionnel, je ne suis pas sur qu'ils auront la chance un jour de rencontrer l'ange qui a croisé notre route hier. Non contente d'avoir un physique a damner un saint, elle a été beni a la naissance d'un sens de l'humour hors du commun, ce qui ne fais que ressortir encore plus sa sagesse et son intelligence. Chacune de ses pensée était de veritable parole d'évangile et c'est en parfait croyant que je buvais a la coupe de tout ce qu'elle préchait. Si elle ne m'a pas accordé la communion tant esperé elle a su faire resurecter en moi la foi en la possibilité de rencontrer un jour l'élue pour laquel je pourrais sacrifier ma chaire et mon sang.

Evangile selon Nicosuisse chapitre 1 verset 1

Installation

Et oui bien que cela fasse déja 8 jours que nous sommes ici, nous n'avons jusqu'a present pas songé qu'il serait bon de ranger la chambre et de défaire les valises. Nous allons donc tel un programme sur une becane gentiment nous installé. nous avons aussi acheté au supermarché une pelle balayette ainsi que des lingette pour le sol. C'est quelque part le grand ménage de printemps légèrement en retard....

Amuse gueule (ou l'inverse...)

Voici une photo de ma buddy en compagnie de son pote Zdenek......no comment.....

Voyage au bout du monde (prague)

Et oui après moult jours d'attente voici la suite de nos aventure en Tchéquie. Ou en tout cas la manière dont je l'ai vécu vu que je suppose que mon cher compatriote Massimo va raconter sa version des faits. Revenons donc légèrement en arrière à savoir ce merveilleux 19 septembre 2007. Afin de pouvoir trouver un hôtel en arrivant nous décidâmes de prendre sur notre sommeil pour entreprendre cette épique aventure vers 8h du matin. Départ sans encombre et formidable traversé verticale de la Suisse. Tel le grand voyageur nous savions qu’il était nécessaire d’effectuer des ravitaillements sur la route. Nous avons donc acheté du pain sur une aire d’autoroute et commencions avec de la terrine que ma sœur avait eue la bonne idée de ramener de Corse. Le tout arrosé d’un petit moscatel de derrière les fagots. Nous reprimes alors la route le ventre un peu plus plein pour effectuer une traversé cette fois ci horizontale de l’Allemagne. Etant suffisamment Ensemien pour ne pas avoir besoin d’apporter a notre corps l’eau nécessaire a son fonctionnement nous remettions le couvert avec exactement les même mets en Allemagne le tout pour arriver vers 21h a Prague. La nous découvrions les rues que nous allions arpenter pendant 6 mois en suivant les indications de mon cher ami TomTom tel les rois mage pour Sheila. La faune local est assez particulière la nuit, en effet les conducteurs ne sont pas très précautionneux et les sirènes de police retentissent de toute part à la manière de celle de Poncho dans Chips. Enfin l’arrivée sur le campus et la n’écoutant que les conseil de Massimo nous décidions de passer la nuit dans la voiture dans laquelle nous avons fini les terrines et bien entamé le moscatel pour se protégé du froid et facilité le sommeil. Lever aux aurores pour être les premiers a obtenir nos chambres afin nous le pensions de choisir la mieux possible. La première communication avec l’autochtone ne fut pas une franche réussite en effet ici le personnel administratif parle un langage rappelant le discours d’un homme saoul la bouche plein de yoghourt. Finalement la responsable du block (bâtiment, encore que l’on puisse peut être parler de blockhaus dans ce cadre la) interpella un jeune homme de couleur afin de nous faire la traduction en anglais, nous venions de nous faire notre premier ami noir Tchèque. Je sais ce que vous pensez, mais rappelez vous bien qu’il faut commencer bas pour ensuite grimper l’échelle sociale. Elle nous présenta alors un papier de la taille d’une carte postale et étrangement ressemblant a un état des lieux. Quelle ne fut pas notre stupeur lorsqu’elle nous a dit qu’il suffisait de signer que ce n’était pas important. Nous montions alors dans notre chambre persuader de s’être fait rouler dans la farine. La découverte des lieux nous fit instantanément changé d’avis, en effet s’est juste qu’il s’en foute pour de vrai, comme vous pouvez l’admirer sur les photo prises de la chambre. Les jours qui suivirent furent consacrés à la découverte des merveilles que recèle cette formidable ville au passé bien trouble qu’est prague. En effet Prague est le berceau de la bohème avec toutes les conséquences que cela implique sur le pourcentage de Gipsy au sein de la population ce qui n’est en rien pour nous rassurer. Heureusement nous ne tardâmes pas a rencontré de nouveau amis cette fois ci Portugais, nous n’avons pas franchi beaucoup d’échelon pour le moment comme vous l’aurez sûrement remarqué. Je me doute bien que vous voulez avoir des nouvelles de ma Buddy. Et bien sachez qu’elle est encore plus merveilleuse en vrai qu’en photo, et son amitié pour Zdenek le buddy d’un compatriote francais ne fait que renforcer son charme. Je vous promet des photos d’eux sous peu mais j’attend que ce fantastique Zdenek me les envoies…En compagnie de nos amis velus nous sortons et profitons de la ville sur les conseil de leur buddy Pavla qui elle est digne de la république Tchèque. Nous croisons alors moult beauté que nous n’hésitons pas a qualifier de ricou cou (beau fessier) ou ricas mamas (belle poitrine), en effet nous apprenons plus de mots portugais que de mots anglais ou Tchèque meme si nous avons deja appris le lexique essentiel a la survie du touriste tel que une biere svp. Car oui ici la population ayant la chance de ne pas avoir grand-chose pour vivre, la pinte de bière ne coûte qu’un euro en boite nuit cela nous a d’ailleurs déjà coûter plusieurs aigreur d’estomac et endormissement intempestif…. Oui, le confort est ici accessible a n’importe quel SDF francais et nous pouvons donc manger et boire a moindre frais. Etant sur le point de sortir je vous laisse sur une interminable attente de nos prochaines histoire. Rassurez vous la suite ne devrait pas tarder en effet des demain j’ais rendez vous avec une danseuse de ballet bulgare qui travail ici depuis un mois et des bananes j’espere donc avoir des choses a vous raconter après demain. D’ici la keep it real and wait for our news.

Prague

Bonsoir chers fans. Ca fait maintenant une semaine que nous sommes arrivés dans le berceau de la juiverie en europe centrale. La première nuit eu des airs de cauchemars : l'otoctone ne parle pas la langue de Shakespear. La chambre n'étant pas encore disponible nous avons choisi de nous enfermer, tels des bébés bulles, dans une Clio afin de nous protéger des griffes de ces infâmes ex-socialistes. Bien sur ce navire de fortune n'offre pas le comfort des palaces de la French Riviera, alors nous optâmes pour l'option "alcool à volonté" afin que l'éthanol nous offre la volupté de draps de satin.

C'est après cette première nuit plutot mouvementée, nous avons pu acquérir ce petit bijou qu'est notre chambre. Digne des plus beaux dortoirs de goulag, elle brille par ses autocollants coca cola, ses posters de voitures, ses trous dans les murs, ses affiches de femmes nues déchirées, le tout fourni d'office. Nous avons une vue imprenable sur un autre Block, batiment brillant par sa simplicité et son état délabré. Le tout donne à notre "chez nous" un gout d'authenticité qui offrira à notre séjour des airs de koh lanta en europe centrale.

Bien sur ces quelques désagréments son compensés par le prix de la vie, de la bière, qui est plus accessible que l'eau et par le décord féerique qu'étale la ville. Evidemment, tous les lecteurs doté d'une excroissance pénienne se demandent comment sont les filles : est-ce qu'elle sont bien digne de leurs compatriotes qui sévissent dans la rue des putes à Nice? Effectivement la demoiselle du pays respecte sa raie pute ation. Il est même dit qu'elle s'offre facilement, mais hélas je n'ai pas l'intention d'expérimenter comme tout bon reporter l'aurait fait : mon coeur n'est plus à prendre. (Bulletin spécial : On m'informe du suicide de la majorité des lectrices).

C'est donc un réel plaisir de vivre dans le pays de la binouz, même si Alaïne n'est plus là pour abreuver "les vieux soifards".

Je ne vous dirais qu'une chose : Chupa me ou pirilaou (étant donné que je ne progresserais pas en anglais ici, je me suis mis au portugais et au czech, langues au combien importante pour communiquer avec des femmes de petites vertues à la pilosité sur-développée)

Je vous embrasse l'anus, nous restons en contact - Copy that